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L'ordre de Saint-Michel est un ordre de chevalerie, fondé à Amboise

le 1er août 1469 par Louis XI, sous le nom d'« Ordre et aimable compagnie de monsieur Saint Michel ».

 

Les membres de l'ordre de Saint-Michel se disaient chevaliers de l'ordre du Roi, alors que les chevaliers de l'ordre du Saint-Esprit s'intitulaient

« chevaliers des ordres du Roi ».

 

Son siège est établi à l'abbaye du Mont-Saint-Michel.

 

Sa fête est le 29 septembre, jour de la fête patronale de l'archange saint Michel, saint patron du royaume de France jusqu'au vœu de Louis XIII.

 

Sommaire

1 Fondation 2 Insignes 3 Devise 4 Règle

 

Fondation

Il fut fondé en réplique à la fondation de l'ordre bourguignon

de la Toison d'Or.

 

Ses statuts étaient copiés presque mot pour mot sur ceux

de l'ordre bourguignon.

 

Le roi de France le dirigeait et les chevaliers, au nombre de trente-six, devaient lui prêter serment.

Son siège, qui était établi dans la grande salle de l'abbaye du Mont-Saint-Michel où se trouvaient peintes les armes de tous les anciens chevaliers, fut par la suite transféré par Louis 14 aux Cordeliers de Paris (14 juillet 1661)1.

 

Cela permettait au roi de se créer un réseau de fidélités qui n'étaient plus directement liées aux fidélités féodales.

 

Insignes

Les chevaliers devaient, en toute occasion, porter « un collier d'or fait [de] coquilles lassées, l'une avec l'autre, d'un double las » auquel était suspendu un médaillon représentant l'archange terrassant le dragon.

 

C'est par le biais du pèlerinage au Mont Saint-Michel que les coquilles, symbole des pèlerins, étaient associées depuis longtemps à l'imagerie de saint Michel.

 

Les armoiries de l'abbaye portaient des coquilles, et le saint a fréquemment été représenté avec une cuirasse en forme de coquilles.

 

Cet article des statuts donna lieu à deux types de colliers. Un premier type représenta les « doubles las » comme des aiguillettes formant des double-nœuds.

 

François Ier, promut dès son accession au trône un nouveau modèle de collier, alternant les coquilles avec une double cordelière.

 

À défaut de cet imposant collier, les chevaliers pouvaient se contenter d'un simple médaillon représentant « monsieur saint Michel ».

Une tenue de cérémonie était prévue pour les fêtes de l'ordre : elle se composait d'un manteau de damas blanc brodé d'or sur la bordure et fourré d'hermine, porté sur une robe longue.

 

La tenue était complétée par un chaperon rouge dont la cornette, brodée comme le manteau, devait pendre sur l'épaule.

 

On peut retrouver les insignes de l'Ordre dans un certain nombre de constructions du début du 16e siècle.

 

On peut remarquer un grand nombre de coquilles dans les décorations du château d'Écouen, bâti par le connétable Anne de Montmorency favori du roi et chevalier de l'Ordre.

Devise

"Immensi tremor oceani"

L'on trouve également Espérance.

 

1er août 1469. Loys, par la grace de Dieu roy. de France, scavoir faisons à touts, présens et advenir, que, pour la très parfaicte et singulière amour qu'avons au noble ordre et estat de chevalerie, dont par ardente affection, désirons l'honneur et augmentation ; à ce que, selon nostre entier désir, la saincte foy catholicque, l'estat de nostre mère saincte Eglise, et la prospérité de la chose publicque, soyent tenuz, gardées et défendues, ainsi qu'il appartient.

Nous, à la gloire et louenge de Dieu nostre créateur tout puissant, et révérence de sa glorieuse mère, et commémoration et honneur de monsieur sainct Michel archange, premier chevalier qui, pour la querelle de Dieu, victorieusement batailla contre le Dragon, ancien ennemy de nature humainé, et le trébucha du ciel ; et qui son lieu et oratoire appelé le mont Sainct-Mjchel, a tousjours seuremént gardé, préservé et défendu, sans estre pris, subjugué, ne mis ès mains des anciens ennemys de nostre royaume :

 

Et afin que tous les bons, haults et nobles couraiges soient esmeuz et incitez à œuvres vertueuses, le premier jour du mois d'aoust, l'an de grâce mil quatre cent soixante neuf, et de nostre règne le ix, en nostre chastel d'Amboyse, avons constitué et créé, prins et ordonné, et par ces présentes instituons, créons, prenons et ordonnons un ordre et fraternité de chevalerie, ou aimable compagnie de certain nombre de chevaliers : lequel ordre nous voulons estre nommé ordre de Sainct-Michel, en et soubz la forme, condition, statuts, ordonnances et articles cy-après escripts.

 

Il y aura 36 chevaliers, dont le Roy sera le chef, et après lui ses successeurs.

Le devoir citoyen de la Chevalerie

La vie du chevalier était soumise à des règles qui en déterminaient chaque phase.

 

L'enfant qu'on destinait â la chevalerie était, dès l'âge de sept ans, retiré des mains des femmes et confié à quelque seigneur dont il devenait en quelque sorte l'élève et même le serviteur, car dit l'Ordène de chevalerie :

 

« Il convient qu'il soit subject, devant que seigneur, car autrement il ne connaîtroit pas la noblesse de sa seigneurie quand il seroit chevalier. »

 

Cette domesticité temporaire et accidentelle n'avait d'ailleurs, en aucun cas, rien de dégradant, elle ne faisait que resserrer les liens d'amitié et de sympathie qui rattachaient l'apprenti chevalier à ses maîtres et instituteurs.

Ceux-ci ne négligeaient pas l'éducation morale et religieuse de leur élève, qu'ils formaient à l'amour de Dieu et au respect des dames en même temps qu'ils l'exerçaient au maniement des armes.

 

Ils l'engageaient bientôt à se choisir, parmi les nobles damoiselles qui fréquentaient le château, une sorte de souveraine idéale envers laquelle il ferait preuve de toutes les délicatesses et qu'il devrait servir, lui rapportant ses pensées et ses actions comme à une personnification de sa conscience.

Le page, après avoir passé par les fonctions de varlet et de damoiseau, était mis hors de page en devenant écuyer.

 

En dehors des services domestiques qu'on attendait de lui dans la maison de son seigneur, l'écuyer était surtout chargé des soins de l'écurie, nobles soins dans ces temps où la noblesse ne combattait qu'à cheval.

 

Parvenu au grade de bachelier (bas-chevalier), il accompagnait son maître au combat.

Enfin quand après ce long noviciat, après avoir fait ses preuves en qualité de poursuivant d'armes, le jeune gentilhomme (âgé de 18/20 ans, ndlr) devait être armé chevalier, il s'y préparait par un jeûne de trois jours et par la veille des armes, passant la nuit entière à la porte de l'église, debout et en tenue de guerre ; le matin, il entendait la messe à genoux, vêtu de blanc, portant au cou l'épée qu'il ne pouvait ceindre encore ; il recevait des mains de quelques nobles dames ou damoiselles, les éperons, le haubert, la cuirasse, les gantelets et les autres pièces de son armure qu'il revêtait aussitôt ; puis l'évêque ou son délégué aspergeait l'épée d'eau bénite et recommandait au postulant de l'employer à la défense de la sainte Eglise de Dieu, pour la confusion des ennemis de la croix de Jésus-Christ, et de n'en blesser personne injustement ; les prières, profession de foi et cérémonies religieuses étant achevées, le chevalier ordèneur complétait l'adoubement du récipiendaire par la colée, c'est-à-dire qu' il le frappait sur le col du plat de l'épée nue et lui donnait ensuite l'accolade en disant :

 

De par Dieu et Notre-Dame, je te fais chevalier

De par Dieu et Notre-Dame, je te fais chevalier

 

Le nouveau chevalier, ceint de l'épée, se levait, sortait sa lame du fourreau, la brandissait trois fois en homme, l'essuyait sur son bras gauche, comme s'il venait de faire une action de guerre, et la remettait au fourreau.

 

On lui apportait ensuite l'écu et la lance, on lui amenait son destrier et dès lors il pouvait mener la vie de dévouement, de combats et de gloire à laquelle il avait aspiré depuis tant d'années.

 

M. Paul Lacroix (1806-1884), (Vie militaire au moyen âge), écrit :

 

 

M. Paul Lacroix (1806-1884), (Vie militaire au moyen âge), écrit:

« L’Eglise, tout en approuvant la générosité de cette institution, prit à tâche d'en modérer les tendances romanesques et belliqueuses ; son esprit pacifique est exprimé dans les prières du Pontifical pour la bénédiction de l'épée.

 

Mais si l’Eglise protégea la chevalerie et l'investit même d'une dignité presque sacrée, elle refusa toujours d'étendre cette protection aux tournois, joutes, bas d'armes, manifestations brillantes et quelquefois dangereuses de l'esprit chevaleresque, et surtout au duel judiciaire.

 

Malgré la présence d'un prêtre dans la lice, elle n'accordait même pas au duel judiciaire une tolérance tacite.

 

Sans cesse elle protesta avec indignation contre cette coutume barbare enracinée dans les mœurs, s'efforçant de détruire la farouche doctrine qui confondait la force avec le droit ; mais ce fut en vain que, pour s'opposer à l'usage du duel judiciaire, elle se servit de toute son influence, de toute son autorité ; elle dut se borner à atténuer les fâcheux effets des idées généralement reçues.

 

L'association de l’Eglise et de la chevalerie, de la guerre et de la religion se consomma dans une institution qui se rattache intimement aux croisades, nous voulons parler des ordres religieux militaires ».

César Cantu (1804-1895) écrit (Histoire Universelle) :

« Nulle part, la Chevalerie ne se montra plus digne d'admiration.

Là, elle accepte le sacrifice de toutes les affections, le renoncement à la gloire du guerrier comme au repos du moine, et charge du double fardeau de ces deux existences le même individu, en le vouant tour à tour aux périls du champ de bataille et au soulagement de la souffrance.

 

Les autres chevaliers allaient en quête d'aventures pour leur dame et l'honneur, ceux-ci pour secourir l'indigence et la douleur.

 

Le grand-maître des Hospitaliers se faisait une gloire du titre de

« Gardien des pauvres du Christ », celui de l'ordre de Saint Lazare

devait toujours être un lépreux, les chevaliers appelaient les pauvres

« nos Maîtres » effets admirables de la religion qui, dans des siècles où toute la puissance dérivait du glaive, savait humilier la valeur et lui faire oublier cet orgueil qu'on en croit inséparable. »

Le serment du chevalier

1. Tu croiras à tous les enseignements de l’église

et tu observeras ses commandements.

 

2. Tu protégeras l’église.

 

3. Tu défendras tous les faibles.

 

4. Tu aimeras le pays où tu es né.

 

5. Tu ne fuiras jamais devant l’ennemi.

 

6. Tu combattras les infidèles avec acharnement.

 

7. Tu rempliras tes devoirs féodaux, à condition qu’ils ne soient pas contraires à la loi divine.

 

8. Tu ne mentiras jamais et tu seras fidèle à ta parole.

 

9. Tu seras libéral et généreux.

 

10. Tu seras toujours le champion du droit et du bien

contre l’injustice et le mal.

Si le chevalier manque à son serment, il est proclamé indigne d’être chevalier.

 

Il est conduit sur une estrade, son épée est brisée et piétinée, son blason est attaché à un cheval et trainé dans la boue.

 

Tous peuvent l’injurier.

 

On le met sur une civière, puis on le recouvre d’un drap noir et on le porte à l’église comme un mort.

 

On récite les prières des défunts : il est mort comme chevalier et banni toute sa vie.

Les Ordres de chevalerie

 

La chevalerie, qui rassembla

les combattants à cheval puis

les nobles, n'était plus qu'un

degré de la noblesse à la fin

du Moyen Âge.

 

 

La Révolution française abolit les ordres de chevalerie le 30juillet 1791.

"Les nations de l'antiquité ne connaissaient pas nos ordres de chevalerie, nos ordres militaires ou religieux, distinctions qui leur eussent paru incompatibles avec la liberté.

 

Mais si quelque citoyen rendait un service important à la patrie, on l'en récompensait, soit en lui élevant une statue, soit en le plaçant dans un tableau exposé en public, soit en prononçant son éloge dans la tribune aux harangues.

 

A Rome, on décernait des récompenses qui restaient dans les familles et y perpétuaient le souvenir du service rendu à l'Etat.

"La couronne de myrte se donnait aux généraux qui avaient terminé des guerres peu importantes ; la couronne de chêne était offerte au citoyen qui avait sauvé la vie à un autre citoyen ; la couronne de laurier ceignait le front du général triomphateur.

 

Au moyen âge, on oublia complètement la tradition des récompenses civiques; mais le goût des distinctions n'en continua pas moins à subsister et ce fut ce goût qui donna lieu à l'institution des ordres chevaleresques ou militaires.

 

On a essayé d'en rattacher l'origine aux récits de l'archevêque Turpin, ou plutôt à un anonyme du 11e siècle, qui avait romancé les hauts faits des paladins ou des douze pairs de Charlemagne ; on a de même attribué à Charles-Martel l'institution de l'ordre de la Genette ; mais il n'en reste pas moins prouvé que l'origine des ordres militaires date des croisades, époque où l'on se plaçait une croix sur le coeur et où l'on marchait à la délivrance du tombeau du Christ, que renfermait Jérusalem.

"Vingt ordres militaires se fondèrent alors dans l'antique cité orientale qui servit de berceau au christianisme. Tous avaient pour but d'en perpétuer la possession.

 

Les croisés qui faisaient partie de ces ordres ne se distinguaient que par la manière dont ils se décoraient de leurs croix, mais tous avaient le même but.

Les ordres de chevalerie institués à cette époque perpétuent la croisade ; ce sont des milices papales, une armée ecclésiastique permanente.

 

Les chevaliers n'ont pas de patrie particulière dont les intérêts nationaux puissent balancer leur attachement aux intérêts du pape ; vivant sur les champs de bataille de l'Orient ou dans les propriétés des ordres disséminées en Europe, ils n'ont d'autre famille que leurs frères, et la patrie à laquelle ils se dévouent est Reine.

Tels sont les chevaliers du Saint-Sépulcre, les hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, de Saint-Lazare, les templiers, etc.

 

A cette classe il faut encore rattacher les ordres qui eurent pour but les croisades intérieures contre les hérétiques, comme l'ordre de la milice de Jésus-Christ, les Porte-Croix ou ordre de Sainte-Croix...

 

La destruction des templiers porta un coup mortel à cette organisation ; c'est, du reste, le commencement de la décadence de l'omnipotence des papes, en face de laquelle s'élève dans chaque royaume le pouvoir royal ou monarchique.

 

Alors apparaît une nouvelle classe d'ordres de chevalerie, les ordres royaux et nobiliaires.

C'est souvent dans la main des rois une sorte de monnaie honorifique ou un instrument de politique pour lutter contre leurs vassaux ou contre les souverains voisins ; dans cette classe rentrent l'ordre de l'Étoile ou de la Noble maison, sous Jean II, opposé à l'ordre de la Jarretière, en Angleterre ; l'ordre de Saint-Michel, contre l'ordre de la Toison de Bourgogne ; celui du Saint-Esprit, créé en face de la Ligue.

C'est souvent dans la main des rois une sorte de monnaie honorifique ou un instrument de politique pour lutter contre leurs vassaux ou contre les souverains voisins ; dans cette classe rentrent l'ordre de l'Étoile ou de la Noble maison, sous Jean 2, opposé à l'ordre de la Jarretière, en Angleterre; l'ordre de Saint-Michel, contre l'ordre de la Toison de Bourgogne ; celui du Saint-Esprit, créé en face de la Ligue.

Mais peu à peu la société s'organise, et on arrive à comprendre que les prières du clergé et le sang de la noblesse ne pourraient suffire pour tous les besoins de l'Etat, et que la bourgeoisie, outre son argent, donne aussi un concours moral précieux et verse elle-même à flots son sang sur les champs de bataille ; que trois ou quatre cent mille soldats ne sont rien auprès des millions de citoyens qui composent un peuple.

 

Il faut donc enfin songer à récompenser tout le monde d'après le mérite et non plus selon les hasards de la naissance ou les différences de religion.

Cette pensée amena la création des ordres modernes, dont le principal objet est de récompenser le mérite.

 

Pendant longtemps, les ordres chevaleresques furent astreints à la fois aux règlements généraux de la chevalerie et à des règlements spéciaux en rapport avec l'objet de leur établissement.

 

Aujourd'hui, les distinctions que confèrent les ordres de chevalerie sont

en général simplement honorifiques.

Un certain nombre, toutefois, font jouir leurs membres de divers avantages matériels.

Les ordres chevaleresques qui existent aujourd'hui sont de trois sortes.

 

Les uns, appelés grands ordres, tels que ceux de la Jarretière, de la Toison d'Or, de l'Eléphant, ne se confèrent qu'aux souverains, qu'aux princes des maisons régnantes et aux personnages les plus éminents.

 

Les autres, comme ceux de Calatrava, de Montesa, etc. sont réservés aux membres des familles nobles, et il suffit, pour y être admis, de faire des preuves d'extraction non roturière ; aussi les désigne-t-on sous le nom d'ordres de cour ou ordres de noblesse.

 

Enfin, les troisièmes, dont la Légion d'honneur peut être regardée comme

le type, sont destinés à récompenser les services et sont appelés, pour ce motif, ordres de mérite.

Les membres des grands ordres ne forment presque toujours qu'une seule classe. Ceux, au contraire, des ordres de cour et des ordres de mérite en constituent généralement plusieurs, dont les titulaires se distinguent entre eux par des insignes différents et sont revêtus, suivant la classe ou le grade auquel ils appartiennent, des titres de chevaliers, officiers, commandeurs, grands-croix...

 

Les insignes sont des plaques ou crachats, qui se fixent sur la poitrine, et des étoiles ou croix, qui se portent, au moyen d'un ruban, tantôt sur le côté ou à la boutonnière, tantôt en écharpe ou en sautoir.

 

Quant aux colliers, ils ne sont guère en usage que dans les ordres qui ont un costume de cérémonie.

 

Enfin, il y a des ordres, même parmi ceux de mérite, qui possèdent un uniforme particulier."

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Liste des Ordres chevaleresques, militaires et religieux, royaux et nobiliaires,

et de mérite civils et militaires

 

Ordre de l’Agneau de Dieu ; Suède 1574- Ordre de l’Aigle blanc ; Pologne 1325- Ordre de l’Aigle d’Italie ; 941- Ordre de l’Aigle d'or ou Ordre de Saint-Hubert ou Ordre de la Grande Chasse ; Wurtemberg 1702- Ordre de l’Aigle noir ou Ordre de l’Aigle de Prusse ; Prusse 1701- Ordre de l’Aigle rouge ou Ordre de l’Aigle de Brandebourg ou Ordre de la Sincérité ou Ordre de Bayreuth ; Bayreuth. 1705- Ordre de l’Aile de Saint-Michel ; Portugal 1165- Ordre de Albert le Valeureux ; Dresde 1850- Ordre de Albert l'Ours ; Anhalt 1836- Ordre d’Alcantara ou Ordre de Saint-Julien du Poirier ; Espagne 1176- Ordre de Alexandre ou Ordre du Cordon Jaune ou Ordre du Dévouement ; France 1589- Ordre de Alexandre Nevski ; URSS 1942- Ordre de l’Alliance ; Suède 1527- Ordre d’Amarante ; Suède 1653- Ordre de l’Amour du prochain ; Suède 1708- Ordre de l’Ancienne noblesse ou Ordre (chapitral) des Quatre empereurs ; Limbourg - Luxembourg 1308- Ordre des Angéliques dorés sous l’invocation de Saint-Georges ou Ordre Constantinien de Saint-Georges ; Constantinople 1190- Ordre de l’Annonciade ; Savoie 1518- Ordre des Argonautes de Saint-Nicolas ou Ordre du Navire ; Naples 1382- Ordre Asiatique de Morale Universelle ; Mongolie 1835- Ordre (Hospitalier) d’Aubrac ou d’Albrac ; France 1120- Ordre d’Avis (ou Aviz), ou Ordre de Saint-Benoît d’Avis, ou Ordre de Sainte-Marie d’Evora, ou Ordre des Confrères de Sainte-Marie d'Evora, ou Ordre du Mérite militaire d'Avis, ou Ordre de la Nouvelle Milice ; Portugal 1147/1181/1789- Ordre du Bain ; Angleterre 1399- Bailliage d’Utrecht de l’Ordre Teutonique ou Ordre Teutonique des Pays-Bas ; 1580- (Grand) Bailliage de Brandebourg de l'Ordre des Chevaliers de Saint-Jean de l'Hôpital de Jérusalem ou Ordre Prussien de Saint-Jean de Jérusalem ; Prusse, vers 1250/1812- Ordre de la Bande ou Ordre de l’Echarpe ; Espagne 1330- Ordre de Bayreuth ou Ordre de l’Aigle rouge ou Ordre de l’Aigle de Brandebourg ou Ordre de la Sincérité ; Bayreuth 1705- Ordre de Bethléem ; pape Paul III 1549- Ordre de Bourbon ou Ordre de Notre-Dame du Chardon ; France 1403- Ordre de Calatrava : voir Ordre militaire de Calatrava.- Ordre de la Calza ou Ordre de la Chausse ; Venise 737/1460- Ordre du Camail ou Ordre du Porc-épic ou Ordre d’Orléans ; France 1394- Ordre des Carmes ; Terre Sainte 1156- Ordre du Casque de fer ; Hesse-Cassel 1814- Ordre du Chardon ou Ordre de Saint-André ou Ordre de la Rue ; Ecosse 1314/1440/1687- Ordre du Chapelet de Notre-Dame ; Valenciennes 1520- Ordre de la Charité chrétienne ; France 1589- Ordre de Charles-Frédéric ou Ordre du Mérite militaire ; Bade 1807

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